Les femmes qui vivent dans la nature vivent plus longtemps, selon une nouvelle étude. Les environnements naturels peuvent réduire le stress et améliorer l’engagement physique et social, ce qui permet aux individus de rester en meilleure santé, selon une recherche théorique.
Le principal objectif de cette recherche était d’en savoir plus sur le lien entre « verdure résidentielle et mortalité ». Entre 2000 et 2008, l’étude a porté sur 108 630 femmes. Au cours de l’étude, 8 604 d’entre elles sont décédées.
L’âge, la race, le tabagisme et la situation socio-économique ont tous été pris en compte dans cette étude, et il a été démontré que les femmes qui vivaient près de leur maison avec le plus de verdure « avaient un taux de mortalité toutes causes confondues, non accidentelles, inférieur de 12 %. »
Les chercheurs sont parvenus à la conclusion qu’une grande quantité de végétation verte contribue à réduire le taux de mortalité des femmes. Ces résultats sont particulièrement intéressants à l’heure actuelle, alors que le nombre de personnes vivant dans les villes ne cesse d’augmenter.
Toutefois, une question demeure : pourquoi moins de verdure entraîne-t-elle moins d’activité sociale ? L’une des réponses est que les individus passent actuellement beaucoup de temps dans leur voiture ou devant un écran d’ordinateur.
La dépression pourrait être exacerbée par un manque d’exercice physique et social. Considérez ceci pour l’instant :
combien de temps passez-vous à l’extérieur chaque jour ? Si vous voulez vivre une vie saine et heureuse, passez autant de temps que possible dans la nature.
